Quart d’heure coquin : le 68 est-il le nouveau 69 ?

Si vous avez une vie sexuelle (et c’est tout le mal que l’on vous souhaite), vous constatez sans doute que certaines positions vous réussissent mieux que d’autres. Le kamasutra réserve parfois son lot de positions trop compliquées, trop acrobatiques ou peu efficaces. Chacun est donc libre de choisir quelques valeurs sûres et de s’y tenir ! Sauf que… la curiosité et l’éveil font parfois des miracles côté sexe. Pour vous aider à pimenter vos soirées, on vous dévoile en exclusivité (ou presque) les dessous du 68, LE nouveau 69 !

 

Un 69 version « chacun son tour »

Le concept de classiques revisités, vous connaissez ? Appliquez-le au kamasutra et cela vous donnera le 68, une nouvelle position dérivée de l’indémodable 69.
Avant de vous lancer dans la pratique, une petite piqûre de rappel théorique s’impose.
Le 69 est une position quelque peu chorégraphique durant laquelle Monsieur et Madame se font simultanément plaisir. Cette pratique du sexe oral est un intemporel des préliminaires mais n’est pas appréciée par tout le monde.
On lui reproche en effet d’être inconfortable, voire franchement gênante. L’avant de l’un (le 6) étant au niveau de l’arrière de l’autre (le 9) on ne peut qu’admettre le côté périlleux de la chose.
Bonne nouvelle ! Le 68 réinvente le 69 dans une version simplifiée et minimaliste.
Côté pratique, l’homme est allongé sur le dos. Sa partenaire s’installe sur son torse et pose sa tête sur ses cuisses. L’entrejambe de Madame se retrouvant au niveau de la tête de Monsieur, la suite des événements est toute tracée.
Le plaisir non partagé de cette position la différencie du 69, mais une version inversée est possible.
Si Monsieur n’est pas trop lourd, Madame peut effectivement essayer de porter son partenaire. Ce dernier aura sûrement besoin d’appuyer ses coudes sur le sol pour équilibrer la position.

Une position plus confortable ?

Allongé sur son partenaire, « celui qui est en haut » est forcément le mieux placé. Le 68 est cependant tout à fait tenable, à condition de trouver le bon équilibre. L’idée ? Ne pas s’effondrer sur sa moitié mais utiliser ses muscles pour éviter le côté « avachi ».
Pour le porteur, l’idéal consiste à s’installer sur une surface moelleuse. Un coussin peut également soulager le dos et la nuque.
Même si moins acrobatique que le 69, la position 68 n’est cependant pas idéale si vous êtes adepte des câlins sans efforts.

Savoir quoi faire… de ses mains !

Si vous pratiquez la position du 68, vous vous rendrez vite compte que le porteur est bien plus occupé que le porté. Pour éviter de rester inactif, rien n’empêche ce dernier de caresser son partenaire. Cette marque d’attention lui fera forcément de l’effet et lui prouvera que vous n’êtes pas du genre à « vous laisser porter ».

Pour le reste, soyez imaginatifs !

Alexia

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